Un ami m’a suggéré d’écrire quelque chose sur Marcel Duchamp.
N’étant ni historien d’art ni spécialiste du père du Ready-made, j’ai
longtemps réfléchi, et trouvé une voie parallèle qui me satisfait : Je
vais vous encourager à lire un roman ! Jean-François Vilar est un de ces auteurs de polars
français dont l’œuvre occupe une place singulière dans le paysage littéraire
hexagonal. Le roman dont je vais parler brièvement ici est sorti originellement
chez Fayard en 1982 : C’est toujours les autres qui meurent. Les spécialistes de Duchamp reconnaîtront immédiatement la référence à son épitaphe.
On y suit l’enquête menée à Paris par Victor Blainville, confronté à un
meurtre mis en scène comme un reproduction de la dernière œuvre de Marcel Duchamp : Étant donné 1) La chute d’eau 2) le gaz d’éclairage.
Une
manière drôle et peu orthodoxe de rentrer dans l’œuvre de celui qui fut aussi un des Satrape du Collège de pataphysique.
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